Cas clinique
2011, Fabien a 20 ans. Il a des symptômes de sciatique.
Une opération du disque intervertébral lui est proposé.
Selon la « profondeur » de l’opération le risque d’être infecté par une bactérie multirésistante aux antibiotiques BMR est moyen ou fort. La liste de tous les risques est impressionnante (1)
Dans le pire des cas Fabien peut mourir.
Alternative à l’opération
Fabien apprend par un voisin l’existence du MGCTCP Massage Global Continu du Tissu Conjonctif Profond.
Fabien trouve un praticien du MGCTCP.
Le disque intervertébral de Fabien est libéré des tensions, il se répare.
Fabien échappe à l’opération.
Un scandale sanitaire
Le risque d’infection par BMR augmente (2) + les procès faits par les assurés suite aux accidents opératoires sont de plus en plus fréquents.
La conséquence est la diminution du nombre d’opérations sans proposition d’alternative.
Les kinésithérapeutes ne sont pas formés au MGCTCP.
La nécessaire coordination entre médecin, kinésithérapeute et ostéopathe n’existe pas.
Faute d’alternative les patients deviennent dépendants des antidouleurs – opium, etc.
Le coût est énorme pour les assurances santé et pour la société.
Le coût est faible pour ajouter le MGCTCP dans la formation des kinésithérapeutes.
Notes
(1) Voir https://www.nhs.uk/conditions/lumbar-decompression-surgery/risks/
(2) Voir Rapport O’Neill
.
.
.
Source image : WikiMedia Rama
3 réflexions sur “DiscoGate”